Améliorer son capital santé et son bien-être, augmenter sa longévité avec l’alimentation vivante, 1er pilier en naturopathie

Améliorer son capital santé et son bien-être, augmenter sa longévité avec l’alimentation vivante, 1er pilier en naturopathie

 

Améliorer son capital santé et son bien-être, augmenter sa longévité avec l’alimentation vivante, 1er pilier en naturopathie

 

L’alimentation vivante représente le régime qui se compose exclusivement de produits non transformés, autrement dit de produits crus.

Elle indique généralement une alimentation végétale, plutôt végétalienne que végétarienne.

Elle n’exclut pas la chaleur car les aliments peuvent être chauffés en dessous de 42°C.

Manger des aliments crus non altérés par la cuisson comporte plusieurs avantages…

 

Premièrement, elle permet d’éviter la leucocytose digestive qui est une augmentation des globules blancs dans le sang, l’urine et la lymphe. En 1937, le prix Nobel de médecine, Paul KouchaKoff, soutient que la dénaturation de l’alimentation par la cuisson entraîne une réaction immunitaire : l’organisme humain reconnaît les aliments cuits comme des envahisseurs nocifs dont il cherche à se défendre en fabriquant des globules blancs.

Deuxièmement, au-delà d’une certaine température, il y a une destruction des enzymes alimentaires et des nutriments. Lors de la cuisson des aliments, on assiste à ce que l’on appelle les réactions de Maillard (appelées aussi glycation) qui sont des réactions chimiques entre les acides aminés et des sucres. Ces derniers sont responsables du brunissement des aliments et du déploiement des arômes. Les réactions de Maillard peuvent donner naissance à des composés cancérigènes comme les acrylamines, les hydrocarbures polycycliques, les amines hétérocycliques, l’HMF…

 

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De quoi se compose l’alimentation vivante ?

  • Les fruits acides : orange, citron, ananas, kiwi
  • Les fruits semi-acides : fraise, cerise, abricot, myrtille
  • Les fruits doux : banane, datte, figue, kaki
  • Les fruits gras : avocat, durian, olive, noix de coco
  • Les légumes feuilles : salade, épinard, blette, chou
  • Les légumes verts : haricot, courgette, fenouil, petits pois
  • Les légumes fleurs : artichaut, chou-fleur, brocoli
  • Les légumes racines : carotte, betterave, panais, chou-rave
  • Les légumes tubercules : patate douce, pomme de terre, manioc
  • Les jeunes pousses : cresson, pourpier, jeunes épinards
  • Les légumes fruits : tomate, poivron, concombre, cucurbitacées
  • Les champignons : de Paris, cèpe, morille, pleurote
  • Les algues : laitue de mer, wakamé, nori, dulse
  • Les noix : de Grenoble, de Pécan, amande, noisette
  • Les graines : sésame, chia, sarrasin, lin
  • Les graines germées : alfalfa, fenugrec, haricot mungo
  • Les alliacées : oignon, ail, échalote, ciboulette
  • Les herbes aromatiques : persil, coriandre, basilic, menthe
  • Les épices : gingembre, curcuma, cumin, safran
  • Les produits de la ruche : pollen, miel, gelée royale
  • Toutes les préparations non chauffées au-delà de 42 °C comme les fruits séchés, les produits lactofermentés, les jus de légumes, les smoothies, les laits végétaux, les huiles végétales extra vierges.

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L’apport en fibres

Les fruits et légumes contiennent des fibres, des chaînes de sucres complexes qu’on appelle polysaccharides. Elles sont résistantes à nos enzymes digestives et ne sont pas absorbées par notre intestin grêle. En plus de jouer le rôle fondamental de balai intestinal, elles sont la nourriture favorite des bactéries intestinales qui composent notre microbiote. Plus l’ingestion de fibres est importante, plus le microbiote est diversifié en micro-organismes, et plus il octroie une bonne immunité et une bonne santé.

A titre d’exemple, le microbiote des Hadazabés en Afrique, un des derniers peuples chasseurs-cueilleurs, est très diversifié. Ils consomment entre 100 à 150 grammes de fibres par jour contre 20 grammes en moyenne pour les Français.

De surcroît, la fermentation des fibres par nos bactéries intestinales entraîne la production de composés bénéfiques pour notre organisme tels que les acides gras à chaîne courte et les peptides antimicrobiens.

En l’absence de fibres, nos bactéries intestinales se nourrissent du mucus qui recouvre notre barrière intestinale, ce qui peut conduire à l’hyper-perméabilité intestinale aussi appelée l’intestin poreux.

La consommation de fibres est donc associée à une bonne santé. Les fibres permettent de limiter le passage du sucre dans le sang et d’éviter des pics de glycémie. C’est pourquoi on recommande de ne pas faire de jus de fruits où les fibres sont retirées.

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Parmi ces fibres, on trouve :

Les fibres solubles dans l’eau.

Parmi elles figurent la pectine, l’inuline, les gommes, les glucanes, les mucilages et les alginates. Elles se trouvent dans presque tous les végétaux : les fruits riches en pectine, les légumes, les légumineuses, l’avoine (et particulièrement le son d’avoine), l’orge, le psyllium, les graines de lin et de chia.

Les fibres insolubles dans l’eau.

Parmi elles, on cite notamment la cellulose, l’hémicellulose et la lignine. Elles se trouvent particulièrement dans la peau des fruits et légumes, dans les céréales complètes (notamment dans le son de blé), les feuilles et les racines, certaines légumineuses (haricots rouges, lentilles, pois chiches).

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L’apport en enzymes alimentaires

Dans son livre, Enzyme nutrition, le Dr Edward Howell est un des premiers à mettre en lumière l’importance des enzymes sur la santé. Les enzymes sont des protéines qui déclenchent une réaction biochimique particulière dans l’organisme. Il existe donc une variété d’enzymes spécifiques qui jouent des rôles différents dans nos processus physiologiques.
Le Dr Howell les classe en trois grandes catégories :

Les enzymes métaboliques : chaque organe et tissu a ses propres enzymes métaboliques pour faire un travail spécialisé. Par exemple, des chercheurs ont trouvé 98 enzymes distinctes travaillant dans les artères, chacune avec un travail particulier. Ces travailleurs enzymatiques prennent les protéines, les graisses et des glucides pour élaborer des structures saines, afin que le corps fonctionne pour le mieux.

Les enzymes digestives : elles permettent la digestion des protéines, des glucides et des graisses, en découpant les longues chaînes complexes en éléments simples assimilables. Les protéases sont des enzymes qui digèrent les protéines, les amylases digèrent les glucides et les lipases digèrent les graisses.

Les enzymes alimentaires : elles aident préalablement à la digestion pour éviter que les enzymes digestives du corps ne portent toute la charge. Elles sont présentes dans les aliments crus comme les célèbres bromélaïne dans l’ananas, la papaïne dans la papaye.

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L’apport en antioxydants

Les antioxydants sont des molécules qui ralentissent ou empêchent l’oxydation des susbtances. L’oxydation produit des radicaux libres (appelés aussi « dérivés réactifs de l’oxygène » (DRO) ou « espèces réactives oxygénées ») qui sont responsables du vieillissement cellulaire. Les radicaux libres sont issus de l’activité de nos cellules, ils sont le signe que nous sommes vivants et sont utiles pour certaines activités cellulaires. Mais en excès, ils favorisent une destruction et une dégénérescence plus rapide.

Heureusement, dans les fruits et légumes colorés, on trouve beaucoup d’antioxydants capables d’annihiler les conséquences destructrices des radicaux libres.

Ceux qui en contiennent le plus sont ceux de couleur rouge (airelle, goji, canneberge, raisin, grenade, fraise, betterave, chou rouge, poivron rouge) et bleu (aronia, baie d’açai, myrtille, mûre, prune…).

Parmi les antioxydants majeurs, on cite le glutathion, la vitamine C, la vitamine E, plusieurs enzymes (comme la catalase, la superoxyde dismutase et certaines peroxydases), les polyphénols, les caroténoïdes et les flavonoïdes.

L’indice TAC (de l’anglais Total Antioxidant Capacity) indique l’activité antioxydante globale d’un aliment à neutraliser les radicaux libres dans l’organisme humain. Plus l’aliment a une valeur TAC élevée, plus il est antioxydant. 

 

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L’apport en chlorophylle

La chlorophylle est un pigment vert contenu dans les végétaux qui intervient dans la photosynthèse afin de convertir l’énergie lumineuse en matière organique. Elle est donc présente dans les légumes verts comme les épinards, les brocolis, les asperges, les choux, les salades… Elle est aussi appelée « le sang vert » car sa structure est proche de celle de l’hémoglobine qui donne la couleur rouge au sang.

Contrairement à l’hémoglobine qui contient du fer, elle est riche en magnésium. Elle a la particularité de libérer de l’oxygène dans notre sang, entraînant une meilleure oxygénation cellulaire et un assainissement du sang, qui à leur tour entraînent une régulation du pH et de la tension artérielle.

Mais elle a bien d’autres vertus, notamment sur les intestins, car elle assainit notre tractus intestinal des toxines et micro-organismes indésirables et elle favorise un meilleur péristaltisme.

Elle renforce donc notre système immunitaire car notre microbiote intestinal détermine grandement notre immunité.

On affirme aussi qu’elle est bénéfique pour le foie, pour la régulation des hormones féminines, pour diminuer les risques du cancer…

La chlorophylle résiste mal à la chaleur. Ainsi, manger vivant et végétal permet d’apporter suffisamment de ce pigment important. 

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L’apport en énergie vitale

Les aliments vivants possèdent une grande énergie vitale qui se mesure en unité Bovis (UB). Cette mesure est utilisée par la géobiologie pour évaluer l’énergie vitale ou la vitalité, ce n’est pas une méthode reconnue comme scientifique.

L’ingénieur français André Simoneton, dans ses ouvrages Radiovitalité des aliments et Radiation des aliments : ondes humaine et santé confirme que la valeur énergétique d’un aliment peut aussi être déterminée par son taux vibratoire.

Touché par la maladie, il retrouve la santé en mangeant des aliments mesurés à la plus haute fréquence vibratoire sur l’échelle de Bovis.

Le philosophe Edmond Bordeaux Szekely classe d’ailleurs les aliments en fonction de cette vitalité :

Les aliments biogéniques sont les aliments qui génèrent la vie : tous les aliments germés (graines, noix, céréales, légumineuses).

Les aliments bioactifs sont les aliments qui soutiennent la vie : les fruits et les légumes fraîchement cueillis et de qualité crue.

Les aliments biostatiques sont les aliments qui ralentissant la vie : les aliments cuits ou défraîchis.

Les aliments biocidiques sont les aliments qui détruisent la vie : tous les aliments transformés, raffinés, irradiés, et/ou avec des additifs chimiques.

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Le monde végétal possède énormément de vertus, dont les deux principales : la détoxification et la régénération de l’organisme